Cinq portraits malicieux croqués dans un décor de boudoir variant sur des airs de jazz pour faire swinguer l’alternance des tempéraments.
Attaché à sa liberté, Maupassant aimait trop les femmes pour sacrifier l’ivresse des aventures sans lendemain au romantisme d’une relation exclusive. Mais si l’homme était libertin, il n’était ni goujat ni hypocrite et exhortait avec sincérité ces dames à des vagabondages équivalents. Les personnages extraits de ces nouvelles sont tantôt de sacrées chipies, tantôt de magistrales intrigantes, elles évoquent leurs secrets d’alcôves avec une irrésistible drôlerie.