Pouvez-vous nous présenter l'album Padre Padrone et son univers ?
Toujours très tropicaliste au sens brésilien, avec des influence multiples, je voulais le disque le plus éclectique possible.
Comment composez-vous et quelles sont vos sources d'inspirations ?
Je compose en improvisant à la guitare à partir de rythmes de drums composés par moi-même !
Qu'appréciez-vous dans le fait de chanter en français ?
C’est celle que je connais le mieux et elle est très belle et aussi très musicale et s’adapte très bien au rock si l’on fouine un peu !
Quels sont vos choix sur le plan instrumental ?
Toutes les tessitures possibles et imaginables, de la simple guitare sèche à l’orchestre symphonique que je peux bien entendu pas me payer !!
Parlez nous du titre L'homme heureux et de son clip…
2000 ans d’histoires résumés en 4 min comme l'a si bien dit Yan Kouton.
Souhaitez-vous nous parler des enregistrements en studio ?
C’est très long et passionnant, je pourrais passer la moitié de ma vie en studio (Gérard Manset).
Que souhaitez-vous transmettre au public avec Padre Padrone ?
De la joie, du swing, l’envie de danser et une critique acerbe de notre société actuelle.
Pourquoi réalisez-vous un financement participatif ?
Par besoin d’argent et aussi pour faire la promo du disque.
Quel sera l'univers de l'album ?
Éclectique, tropicailste, cannibaliste !
Qu'est ce qui vous a motivé à proposer le format vinyle et qu'appréciez-vous dans ce support ?
C’est la mode mais j’ai toujours aimé le vinyle (tableau+musique). Le CD fut une arnaque totale des industriels… comme la voiture électrique reliée au compteur linky !
Une indiscrétion à donner sur Padre Padrone ?
Ce vaccin a été écrit un an avant le début de cette pandémie.
En quoi les concerts sont-ils importants pour vous ?
Vivre intensément, vibrer, recevoir, improviser, trouver, rire, voyager.
Comment vous sentez-vous sur scène ?
De mieux en mieux, de plus en plus libre !
Que souhaitez-vous dire pour conclure ?
Allez voir des concerts, sortez, buvez des coups, invitez-vous chez vos amis !
Merci à Nicolas Paugam d'avoir répondu à notre interview !
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