Après une première prise de parole remarquée avec Gibraltar, François-Henri continue de dévoiler son univers avec son nouveau single Bombay Sapphire. La tête dans les nuages mais les pieds sur terre: depuis toujours, il rêve d’une vie de musicien malgré un parcours qui le lui interdit. Dualité, choix de vie, autant de dilemmes que d’innombrables chansons qui tournent dans sa tête.
S’il est né avec un piano dans sa chambre, François-Henri découvre l’énergie redoutable de la musique électronique dans sa fratrie tandis que Serge Gainsbourg et Véronique Sanson résonnent en boucle chez ses parents. À l’adolescence, le temps passe et deux mondes opposés s’accumulent: son piano contre les synthétiseurs, ses études contre un univers des possibles dans la musique.
Comme une urgence qui l’habitait depuis toujours, François-Henri renonce finalement à cet avenir tout tracé dans les affaires pour consacrer toute son énergie à la musique. Il joue ses premiers morceaux sur les scènes parisiennes et se fait remarquer par le tourneur Auguri (Angèle, Jain, Philippe Katerine) qui lui permet de faire les 1ères parties de Julien Doré et Marc Lavoine. En parallèle, il rencontre le producteur Marlon B. (Brigitte, Juliette Armanet, Matthieu Chedid) à qui il confie la réalisation de ses chansons.
C’est en Français qu’il déclare distinctement sa flamme à cette nouvelle vie. Existe-t-on que si l’on brille ? La réponse nous est donnée dans Bombay Sapphire, cocktail pailleté détonant à chaque refrain tel un cri pressant: « ne rien regretter ». Voici ce qui anime François-Henri.