Pouvez-vous nous présenter votre album In the light et son univers ?
Notre nouvel album In the light est notre deuxième album. Il propose un voyage à travers un « arc-en-ciel d’émotions », comme une sorte décomposition de la lumière, mais sentimentale, à travers le prisme de l’inconscient.
Le monde qui nous entoure ou encore la psychologie... semblent être des thèmes qui vous sont chers. Pourquoi ?
Je pense que l’essentiel de notre inspiration est inconscient. Il est vrai que l’on peut très souvent retrouver des références plus mystiques ou même oniriques. Je pense que ce mélange reste avant tout la base de notre identité.
Qu'avez-vous souhaité apporter de nouveau sur le plan instrumental avec cet opus ?
On a vraiment cherché avant tout à affirmer notre identité sonore et artistique. On a travaillé avant tout sur l’aspect atmosphérique de l’album.
Peut-on en savoir plus sur le titre City of water ?
C’est un titre sur lequel on a pris beaucoup de plaisir parce qu’on a fait participer des personnes extérieures au projet. Le concept du titre pourrait se résumer à la couleur bleue et au sentiment que véhicule cette couleur à l’âme. La « cité d’eau » est une métaphore qui illustre ce mélange sensuel et digital.
Qu'avez-vous voulu apporter au public avec cet album ?
On souhaitait que les gens puissent être aspirer par l’ambiance des titres, afin qu’ils puissent expérimenter ce voyage sonore le plus intensément possible.
On sait que vous aimez bien échanger avec d'autres artistes sur vos compositions. Comment cela s'est-il passé et avez-vous été bien encadré avec les équipes en studio ?
La collaboration s’est comme d’habitude très bien passé. Nous étions dans notre laboratoire habituel qu’est le Studio LE HANGAR 38. Francesco Alessi a une nouvelle fois fait un travail remarquable sur le son, et je pense que tous les musiciens étaient ravis de travailler dans des condition aussi optimales.