En 2013, Cécile McLorin Salvant avait subjugué la critique et le public avec son premier album WomanChild qui dévoilait une voix hors norme et une technique vocale particulièrement impressionnante. Sélectionnée aux Grammy Awards aux Etats-Unis et aux Victoires du Jazz en France, Cécile McLorin Salvant avait été qualifiée de révélation vocale de l'année. Nous la retrouvons avec un nouvel album très attendu For One To Love et un concert le 5 septembre à Jazz à la Villette.
For One to Love frappe par son romantisme incandescent. Cécile McLorin Salvant a composé cinq titres et choisi des reprises comme "What's The Matter Now" (popularisé par Bessie Smith), "Wives and Lovers" de Burt Bacharach, "Le Mal De Vivre" de Barbara, "Growlin' Dan" de Blanche Calloway (première femme à diriger un orchestre jazz masculin), ou encore un titre de Cole Porter. Un EPK permet d'appréhender l'album For One To Love.
Cécile McLorin Salvant, formidable chanteuse de 25 ans, s’est révélée au grand public avec l’album WomanChild en 2013. Ce second album, très attendu, s’intitule « For One To Love ». Il expose brillamment les contrastes entre l’amour et l’envie, le plaisir et le désir.
Cécile a composé cinq chansons originales. Chaque composition ou reprise explore des thèmes sousjacents de l'album et affiche la forte personnalité de Cécile, sa vive intelligence, son humour, sa lucidité et un romantisme absolu. En attestent sa version incandescente de “Wives and Lovers”, une magnifique composition de Burt Bacharach et Hal David, mais aussi « Growlin’ Dan » de Blanche Calloway, la première femme à avoir dirigé un orchestre composé uniquement d’hommes ! « What’s The Matter Now », initialement popularisé par Bessie Smith, est presque un oxymore : un plaidoyer pour l’équité interprété… à la manière d’un blues enjoué ! « Le Mal De Vivre » chanson écrite par la célèbre chanteuse française Barbara en 1966, est une ballade saissante.
"For One To Love' met en valeur la voix fascinante de Cécile : des aigus frémissants et des graves qui remuent l’âme, le tout livré avec grâce et style. Salvant a réuni le
jeune pianiste déjà primé Aaron Diehl, accompagné de Paul Sikivie à la basse et Lawrence Leathers à la batterie. Ensemble, cet ensemble balance, swingue, comme
suspendu aux cris, à la voix rageuse, fougueuse ou enjôleuse de Cécile. Artiste “totale”, elle pratique aussi les arts visuels et l’illustration comme en témoigne l’oeuvre originale qui orne le visual de l’album.
Précision des attaques, justesse, sautes de registre, chaleur du timbre, thèmes abordés : la jeune femme étonne par tant de maturité et de maîtrise stylistique. Cécile McLorin Salvant est née à Miami, Floride et a étudié le droit Français, le baroque et le jazz vocal à Aix-En-Provence avant de remporter le concours Thelonious Monk en 2010. Son album « WomanChild » a été salué par la presse française et internationale et elle a été nominée pour la première fois aux Grammy Awards et aux Victoires du Jazz en France. Elle vit actuellement à Harlem.
Sortie de l'album le 8 septembre 2015.
En concert le 5 septembre, Jazz à la Villette, Paris Tournée en janvier 2016 :
le 9 à Quimper, le 12 à Arras, le 14 à Albi, le 15 à Narbonne, le
16 à Onet le Chateau, le 18 à Chalon sur Saone, le 20 à Cholet,
le 21 à Saint Cloud, le 22 à Montrouge, le 24 à Athis Mons, le 26
à Rouen, le 27 à Beauvais
Le nouvel album du Collectif Métissé Fans des années 80 - La suite est désormais disponible ! Un volume 2 faisant suite au succès de leur album de reprises Fans des années 80 sorti avant l’été, et porté par les tubes Je te donne feat. Michael Jones et le puissant Gimme Hope Jo’Anna.
Santa Claws prépare actuellement son album Life is a lie, qu'il présente dans cette interview.
Propulsé par un groove instinctif que seule la complicité d’un frère (Tony Montfort, batterie, choeurs) et d’une soeur (Eva Montfort, basse, choeurs) pouvait créer, ce huit titres plonge au coeur du rock’n’roll, de ses racines et de son histoire. Il a été enregistré entièrement en analogique au studio Adjololo, sous la supervision de Jean-Paul Romann (Tinariwen, Lo’Jo…), sans aucun effet, pour obtenir le son le plus chaleureux et le plus brut possible. Le résultat est un disque authentique et brut, travaillé et complexe. Celui d’un groupe dont l’emblème, le sphinx, symbolise la force animale de la musique. Et qui, comme pour répondre à une énigme, incarne à la fois les quatre temps du rock, les deux rives de l’Atlantique, et l’indépassable trio guitare-basse-batterie.